Pintade

Le poids moyen pour 4 à 5 convives : de 1,2 à 1,7 Kg

Sortez la pintade du frigo 30 minutes à l’avance. Posez la pintade sur un plat, salez et poivrez généreusement à l’intérieur et à l’extérieur en répartissant bien sur la peau.

La Pintade, au goût sauvage plus affirmé que celui du chapon, est une excellente idée de viande pour le repas du réveillon. C’est une volaille juteuse et tendre qui peut être cuisinée farcie ou bardée, et s’accommode facilement avec de nombreux accompagnements. La cuisson de la pintade au four est simple et permet d’obtenir une viande savoureuse. 

Cuisson : 60 à 75 mn environ. Four préchauffé à th.7 (210°C), cuisson à th.6 (180°C).

Conseil : Pour obtenir une pintade bien dorée, badigeonnez-la d’huile avant de l’enfourner. Déposez la volaille dans un plat approprié puis recouvrez-la d’un papier aluminium pendant les 15 premières minutes de cuisson.

CHAPON DE PINTADE

Pour 6 convives, de 2,2 à 2,8 Kg.

Cuisson : 15 mn par livre, +15 mn si farci, à th.7 (210°C).

Conseil : Avec un chapon de pintade rôti, optez pour un Corbières rouge, par exemple…

Pintade aux pommes en cocotte sur Papilles & pupilles (un blog culinaire qui fait voyager) … http://www.papillesetpupilles.fr/2019/10/pintade-aux-pommes-en-cocotte.html/

Poularde

Le poids moyen pour 4 à 6 convives est 1,8 Kg. Comptez 2,5 à 3 Kg pour 6 à 8 convives.

Cuisson : 20 mn par livre, +15 mn si farcie à th.6 (180°C).

Jeune poule qui est élevée en liberté durant 4 mois, puis affinée en bâtiment au lait et aux céréales pendant les 21 derniers jours d’élevage, la poularde, comme le chapon, est un produit de haute qualité. Sa chair, dotée d’une tendreté et d’une finesse exceptionnelles, est délicieusement fondante et persillée. 

Conseil : La poularde est cuisinée entière ou en morceaux. On devinera que l’ustensile inséparable de la cuisson de la poule, est la cocotte, ronde ou ovale, en fonte. Elle diffuse une chaleur douce et permet une cuisson lente qui exalte tout le moëlleux de la chair.

Poularde au vin jaune sur le blog de Carmencita http://www.carmen-cuisine.com/article-poularde-au-vin-jaune-97048371.html

Volailles de Bresse

Le haut de gamme en matière de volaille

Poularde fermière, chapon, pintade et chapon de pintade, dinde, canette, poulet fermier, autant de volailles de choix. Vous trouverez chez Angel les plus belles volailles de Bresse, à sublimer en cuissons douces…

… Apprenez à choisir, à préparer et à cuire ces volailles grâce à nos fiches cuisine et soyez toujours prêts pour la fête !

 


Recettes faciles sur le site de Elle : https://www.elle.fr/Noel/Cuisine/Menus-de-Noel/Viandes-de-Noel/Volailles

Un label Bio hors-pair

COEUR DE TERROIR : boeuf, agneau, veau et porc, le meilleur du Bio!

Au coeur de la France, un groupe d’éleveurs s’est constitué en coopérative pour garantir un haut niveau de qualité. C’est le fournisseur de viandes Bio choisi par AngelSICABA BIO est basé en région Auvergne-Rhône-Alpes, ancienne province du Bourbonnais. Il a créé le premier Label Bio de son domaine, Coeur de Terroir. Ses viandes sont produites dans le respect de l’éthique, du bien-être animal et de l’environnement. Issues de l’agriculture biologique, elles respectent un cahier des charges strict, qui garantit de bonnes qualités bouchères et organoleptiques :

  • Sélection des animaux (âge, poids, race)
  • Sélection des carcasses (conformation, état engraissement, TMP, couleur)
  • Bassin de production défini

Coeur de Terroir s’inscrit dans une tradition d’élevage éthique. Il s’agit d’un élevage de type extensif, ancré dans sa région, respectueux du bien-être animal et de l’environnement, avec pour résultat des produits finis de qualité supérieure.

Noir de Bigorre

A DECOUVRIR

Un héritage exceptionnel

Le Porc Noir de Bigorre est le porc autochtone présent dans les Pyrénées centrales depuis des temps immémoriaux.
Reconnaissable à sa robe noire et à ses oreilles horizontales, le porc Noir de Bigorre est un porc de race pure qui vit en liberté sur son territoire d’origine, la Bigorre, aux confins des Hautes Pyrénées, du Gers et de la Haute Garonne.
C’est aux pieds des montagnes, dans ce paysage doux et paisible de prairies et de sous bois, que le porc Noir de Bigorre se déplace en petits troupeaux pour se nourrir, profitant d’une alimentation saine basée sur les ressources naturelles de son milieu : herbe, gland, chataîgne, triticale cultivée sur l’aire géographique, et autres ressources du milieu. Aucun OGM.
Il grandit à la pâture sur des parcours constitués d’herbe et bordés de haies, d’arbres et/ou de sous-bois.
Animal noble par excellence , il est le fruit d’un écosystème qui relie le milieu naturel, l’animal et l’homme.
Le Jambon Noir de Bigorre est l’une des pépites de la maison, reconnu comme l’un des meilleurs jambon cru d’Europe.

Le Porc Noir de Bigorre est un produit phare à découvrir chez Angel.

Prince de Paris

🐷 Goûtez le JAMBON BLANC PRINCE DE PARIS !!📍Il est fabriqué au cœur de Paris, rue de Charonne, tout comme le Jambon Prince de Paris à la truffe noire, un must pour les fêtes.


« Au début des années 2000, Yves Le Guel a repris la salaison traditionnelle du 166 rue de Charonne à Paris. Amateur de mets raffinés, il s’est attaché à faire renaître l’authentique jambon parisien, que son entreprise est aujourd’hui la dernière à produire. »
Depuis cette date, Yves Le Guel fabrique à l’ancienne avec son équipe le « vrai » jambon de Paris, un produit 100% naturel à la qualité exceptionnelle qu’on trouve sur les meilleures tables.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à visiter le site de Doumbéa. Vous connaîtrez encore mieux ce produit avant de le déguster.

Boeuf Wagyû

A DECOUVRIR

Le boeuf Wagyû (avec ou sans l’accent) est une viande de haute qualité marbrée de blanc, très persillée. Elle est réputé dans le monde entier pour sa saveur, son fondant et sa tendreté incomparables.

Wagyu signifie littéralement « boeuf japonais ». Le boeuf Wagyu est élevé dans des conditions exceptionnelles qui passent par la qualité de l’environnement, de l’alimentation et par une absence totale de stress.

Il existe 4 sortes de boeuf wagyû : kuroge washu (japonais à robe noire : c’est le fameux boeuf de Kobe), akage washu (japonais à robe rouge), Nihon tankaku washu (japonais à petites cornes) et mukaku washu (japonais sans cornes). Le cheptel japonais est constitué de boeuf kuroge washu à 95%.

Cette viande est produite dans d’autres pays que le Japon, notamment en Australie et de plus en plus, en France, avec de très bons résultats.

La note du shifumori

La viande de Wagyu se distingue des autres viandes par un fort taux de persillage, la trame serrée de veinules de gras au cœur de la viande. Ce persillage porte un nom : le shimofuri. Il est noté sur une échelle de 1 à 12, sachant que les meilleures viandes commencent à partir de la note de 6.

Le gras, c’est le goût!

C’est ce persillage qu’il va falloir chouchouter lors de la cuisson du boeuf Wagyu. Le gras doit avoir le temps de fondre et de se diffuser dans les fibres… Traditionnellement, on cuit le Wagyu au Teppanyaki (sorte de plancha japonaise). On ne cuit pas cette viande au grill, mais on peut la cuire à la poêle, à la plancha, ou encore en cocotte ouverte.

Au final,  c’est une viande exceptionnellement fondante aux saveurs de beurre, de noisette et même de foie gras qu’Angel a choisi de vous faire découvrir!

Filet de boeuf Wagyû

Ingrédients : boeuf Wagyu, selon le nombre de convives – un peu d’huile neutre type pépins de raisins (ou encore de colza, soja, tournesol ou maïs) – sel de gemme très fin type sel de l’Himalaya, du moulin – fleur de sel

A la cuisson, les graisses de persillage fondent totalement et expriment leur saveur de beurre, d’herbage et de noisette.

  • Sortir la viande du réfrigérateur assez longtemps avant cuisson. Compter 1 heure pour un steak de 100-200g, 2 heures pour une pièce plus conséquente. Les chocs thermiques ont tendance à durcir la chair.
  • Faire chauffer une plancha, une poêle ou une cocotte ouverte à forte chaleur puis huiler simplement au dernier moment la surface avec un chiffon imbibé d’huile. Il faut que toute la surface de la viande soit bien au contact de la chaleur.
  • Saler la viande avec un sel très fin type sel de l’Himalaya, si possible du moulin. Le sel moulu finement fond instantanément à la surface de la viande et pénètre le cœur de la viande pendant la cuisson.
  • Saisir la viande de chaque côté : la viande se détache naturellement de la surface de cuisson dès qu’elle est dorée. N’essayez pas de détacher la viande avant qu’elle ne se détache seule. Ensuite, continuer la cuisson en retournant la viande régulièrement pour qu’elle cuise à plus basse température. La cuisson saignante est recommandée.
  • Laissez reposer la viande sur une planche à découper avec un papier d’aluminium et un torchon dessus, ou dans un four à 55°c. La viande doit reposer au moins le même temps que la durée de cuisson.

Temps de préparation : penser à sortir la viande du réfrigérateur.

Remarque : La viande de Wagyu peut se manger crue ou cuite. Crue, elle présente un incomparable fondant, une longueur en bouche et une saveur de beurre frais. Elle est alors servie en carpaccio ou en tartare, avec une pointe de sel ou de sauce soja.

Vin conseillé : Pour contrer le côté très gras du bœuf wagyu, optez pour une syrah du nord de la vallée du Rhône (une Saint-Joseph, par exemple).

Le conseil d’Angel : Angel Artisan Boucher vous recommande de déguster la viande nature, avec une petite touche de fleur de sel. Pour profiter visuellement de la beauté de son cœur fondant et rosé, servez la viande Wagyu tranchée en petits cubes, selon la tradition.

Bonne dégustation!

Le porc ibérique

Le porc ibérique est une des dernières espèces porcines élevées en plein air en Europe : il vit en totale liberté dans les prairies clairsemées de chênes vert, rouvre et chênes liège du sud-ouest de l’Espagne. Il se nourrit d’herbe, de plantes aromatiques (thym, romarin…) d’aliments naturels (céréales) et glands de chênes dans les derniers mois de son élevage. Sa race est dite rustique : elle a peu de besoins, demande peu de soins, s’adapte aux ressources nutritionnelles disponibles et explore son environnement à la recherche de ces ressources. Le porc ibérique est capable de mettre bas sans intervention de l’éleveur. Il vit dans un contexte d’élevage respectueux des ressources et de l’environnement.

On l’appelle traditionnellement pata negra (« patte noire ») en raison de sa robe grise et de ses ongles noirs. Ce terme permettait autrefois de le distinguer du porc blanc qui a l’ongle beige.

Du point de vue nutritionnel, ces porcs ont un gras très riche en acide oléïque (c’est l’acide gras de l’huile d’olive) et il favorise le bon cholestérol. Donc, ne pas s’en priver !